On en parle en ville
Sommaire
- 8 mai 1945... Instants de commémoration
- Semaine Européenne, honneur à la République Techèque
- Les «petits» élus au Sénat !
- Les enfants dans la course
- Portes ouvertes des ateliers d'artistes, dans l'antre de l'art
- La Miss qui (re)donne le sourire !
- Roland Garros était à Montrouge !
- Les balades urbaines Ferry Buffalo et Vieux Montrouge
8 mai 1945... Instants de commémoration
Retrouvez en images ce moment de recueillement et d’hommage, en présence du Maire, Étienne Lengereau, de ses adjoints, des « petits » élus du Conseil municipal des enfants et des anciens combattants.
Semaine Européenne, honneur à la République Techèque
Du 9 au 14 mai, Montrouge vous a invité à (re)découvrir l’un des membres de l’Union européenne, la République Tchèque. Cette semaine culturelle, initiée par Pascal Hureau, Maire-adjoint aux Relations européennes notamment, a été l’occasion de projections de films, de concerts, de débats, d’une invitation aux élèves des collèges et lycées à traiter le sujet via des exposés, sans oublier le quiz pour remporter un voyage… Replonger au cœur de l’événement.
Les «petits» élus au Sénat !
Le Conseil municipal des enfants au complet s’est rendu au Sénat, le 18 mai, au cœur des jardins du Luxembourg, pour une visite des arcanes du pouvoir, accompagné de Marie Colavita, Maire-adjointe à la Vie scolaire, aux Apprentissages périscolaires et au Bien-être à l’école, et de Marie-Lesueur, Maire-adjointe à la Citoyenneté notamment. Retrouvez ce moment enrichissant en images
Les enfants dans la course
Le 19 mai, 2000 élèves des écoles de Montrouge se sont lancés dans la course du cross inter-écoles au Stade Maurice Arnoux. Si l’ambiance était joyeuse, avec un vrai plaisir de participer. Il y a aussi eu des vainqueurs… Voici les podiums :
- Course CP
- Chez les filles : 1. Swoeli ORIEUX (école Briand) / 2. Asia DI LIZIA (école Briand) / 3. Karine GRAS (école Boileau)
- Chez les garçons : 1. Oscar LE CORNEC (école Queneau) / 2. François VANDEPUTTE (école Buffalo) / 3. Naïl LISSOUCK (école Buffalo)
- Course CE1
- Chez les filles : 1. Lara LOCUFIER (école Queneau) / 2. Martina WURTZ-ALAÇON (école Buffalo) / 3. Isaure DE REVIERS (école Jeanne d’Arc)
- Chez les garçons : 1. Julien ROUHAUD (école Renaudel B) / 2. Oscar MANDARON SIX (école Boileau) / 3. Nizar RMEYED (école Buffalo)
- Course CE2
- Chez les filles : 1. Clémence MELVE (école Buffalo) / 2. Lyse LEBECQ (école Briand) / 3. Mona BAILLEUX (école Buffalo)
- Chez les garçons : 1. Maxime SALI-MODESTE (école Buffalo) / 2. Arthur LABOUH (école Queneau) / 3. Aurèle HERAS (école Rabelais)
- Course CM1
- Chez les filles : 1. Lola MASCAREL (école Queneau) / 2. Paola WURTZ-ALANÇON (école Buffalo) / 3. Axelle MELEDJE (école Boileau)
- Chez les garçons : Raphaël LAPORTE (école Briand) / 2. Bayrem STAMBOULI (école Queneau) / 3. Tristan PERRIERE-VIVIER (école Buffalo)
- Course CM2
- Chez les filles : 1. Liyah KRAKUS (école Briand) / 2. Elana GAUDE (école Boileau) / 3. Morgane LABRETONNIERE (école Boileau)
- Chez les garçons : 1. Mahamady SISSOKO (école Buffalo) / 2. Léo LAGOUIN (école Boileau) / 3. Evan KACZMAREK (école Renaudel A)
Portes ouvertes des ateliers d'artistes, dans l'antre de l'art
Pour les Montrougiens, cette vingtième édition fut un beau parcours plein de découvertes ! L’association Les Yeux Fertiles avait encore concocté un programme riche d'œuvres, de talents et de styles. Revivez l’événement tout en images comme si vous y étiez (encore).
La Miss qui (re)donne le sourire !
C’était le 15 mai dernier et nous y étions (vous aussi peut-être) ! L’élection de Miss Hauts-de-Seine 2022 s’est déroulée au Beffroi, dans une ambition joviale et devant près de 500 spectateurs… Le show a vu le couronnement de Victoria Chauchard. Nous sommes allés à la rencontre de la jeune femme… chirurgien-dentiste de profession. Autant dire que question « sourire », elle en connaît un rayon !
1. Quelques semaines après votre élection, avec un peu de recul, quelles sensations gardez-vous de cet instant particulier ?
Victoria Chauchard : J’étais sûre que je n’allais pas pleurer sur scène, en cas de victoire et puis, finalement j’ai craqué… Etonnamment, pas tant à cause de la joie d’être élue Miss Hauts-de-Seine – qui était pourtant immense – mais parce ce que Diane Leyre (Miss France en titre) m’a dit à l’oreille que j’avais été élue à l’unanimité des membres du jury. C’est quelque chose de très rare et c’est une vraie fierté !
Après, j’ai eu un peu de mal à réaliser… Dès le lendemain, je reprenais ma vie « classique » dans mon cabinet dentaire avec mes patients. J’ai vraiment pris conscience pour la première fois de mon entrée dans l’aventure « Miss » et son sens, lors de ma présence « officielle » à l’élection départementale, en Seine-et-Marne… Aujourd’hui, je peux le dire : je suis super heureuse !
2. Qu’est-ce qui a motivé, chez vous, la volonté de participer à un concours de Miss ?
V. C. : En fait, c’est quelque chose que je n’avais pas forcément à l’esprit. Ce n’était pas mon « rêve » de toute petite… J’aspirais plutôt à un bon métier, qui me plaît, à réussir ma vie professionnellement parlant… Et puis, à 19 ans, j’ai rencontré une amie de ma sœur – une « ancienne » Miss France – qui m’a un peu poussée à essayer cette aventure. Mais j’étais totalement investie dans mes études de médecine, et je ne me voyais pas vraiment faire une coupure d’un mois et demi. C’était inenvisageable pour moi : mes études avant tout, aucune hésitation là-dessus ! Les années passent, l’âge limite se rapproche… Et je me présente finalement à 24 ans.
Je suis retenue… Mais, on me convoque le jour même de mon examen final de 4ème année ! Autant vous dire que je me suis dit « bon, ben c’est un signe que ce n’est peut-être pas fait pour moi »… J’ai eu mon année, puis les suivantes. Et puis récemment surtout, j’ai commencé à avoir un petit regret, parce que j’ai toujours aimé cet univers des Miss, de la mode, etc. Donc, quand la limite d’âge a été levée, il y a six mois, ma meilleure amie m’a incité à retenter l’aventure ! Qu’est-ce je risquais ? Au pire, le Comité me disait que j’étais trop « vieille » (sourire). Mais non, j’ai été convoquée, très encouragée par le Comité et je me suis sentie tout à fait à ma place ! A ce jour, je reste d’ailleurs la Miss la plus « âgée » à s’être présentée en France. C’est aussi une fierté pour moi, de contribuer à ce petit changement.
3. C’est quoi le quotidien d’une Miss Hauts-de-Seine, une fois l’élection passée ?
V. C. : La semaine, c’est plutôt le quotidien... d'une dentiste (rires). Ensuite, le Comité m’organise des événements, pour l’association montrougienne le Papillon, par exemple, des actions caritatives, des galas, des shootings photos. En outre, j’accompagne le Comité pour les élections départementales qui se terminent par Miss Paris dans deux semaines. Je jongle entre le solidaire, le glamour et… le détartrage (rires) ! C’est d’ailleurs quelque chose qui marque les gens que je croise. Ils viennent me voir pour me dire : « Vous êtes la Miss dentiste, la Miss qui a 28 ans ».
J’ai essentiellement un rôle d’interaction avec les personnes que je rencontre, notamment beaucoup de petites filles aussi, pour donner le sourire. Je fais cela déjà toute la semaine au cabinet. On peut donc dire que je continue le week-end en tant que Miss ! Plaisanterie mise à part, j’aimerais surtout intervenir dans les écoles pour tout ce qui est sensibilisation à l’hygiène
2. Qu’est-ce qui a motivé, chez vous, la volonté de participer à un concours de Miss ?
V. C. : En fait, c’est quelque chose que je n’avais pas forcément à l’esprit. Ce n’était pas mon « rêve » de toute petite… J’aspirais plutôt à un bon métier, qui me plaît, à réussir ma vie professionnellement parlant… Et puis, à 19 ans, j’ai rencontré une amie de ma sœur – une « ancienne » Miss France – qui m’a un peu poussée à essayer cette aventure. Mais j’étais totalement investie dans mes études de médecine, et je ne me voyais pas vraiment faire une coupure d’un mois et demi. C’était inenvisageable pour moi : mes études avant tout, aucune hésitation là-dessus ! Les années passent, l’âge limite se rapproche… Et je me présente finalement à 24 ans.
Je suis retenue… Mais, on me convoque le jour même de mon examen final de 4ème année ! Autant vous dire que je me suis dit « bon, ben c’est un signe que ce n’est peut-être pas fait pour moi »… J’ai eu mon année, puis les suivantes. Et puis récemment surtout, j’ai commencé à avoir un petit regret, parce que j’ai toujours aimé cet univers des Miss, de la mode, etc. Donc, quand la limite d’âge a été levée, il y a six mois, ma meilleure amie m’a incité à retenter l’aventure ! Qu’est-ce je risquais ? Au pire, le Comité me disait que j’étais trop « vieille » (sourire). Mais non, j’ai été convoquée, très encouragée par le Comité et je me suis sentie tout à fait à ma place ! A ce jour, je reste d’ailleurs la Miss la plus « âgée » à s’être présentée en France. C’est aussi une fierté pour moi, de contribuer à ce petit changement.
3. C’est quoi le quotidien d’une Miss Hauts-de-Seine, une fois l’élection passée ?
V. C. : La semaine, c’est plutôt le quotidien... d'une dentiste (rires). Ensuite, le Comité m’organise des événements, pour l’association montrougienne le Papillon, par exemple, des actions caritatives, des galas, des shootings photos. En outre, j’accompagne le Comité pour les élections départementales qui se terminent par Miss Paris dans deux semaines. Je jongle entre le solidaire, le glamour et… le détartrage (rires) ! C’est d’ailleurs quelque chose qui marque les gens que je croise. Ils viennent me voir pour me dire : « Vous êtes la Miss dentiste, la Miss qui a 28 ans ».
J’ai essentiellement un rôle d’interaction avec les personnes que je rencontre, notamment beaucoup de petites filles aussi, pour donner le sourire. Je fais cela déjà toute la semaine au cabinet. On peut donc dire que je continue le week-end en tant que Miss ! Plaisanterie mise à part, j’aimerais surtout intervenir dans les écoles pour tout ce qui est sensibilisation à l’hygiène bucco-dentaire. Je le faisais déjà avant – j’ai par exemple créé un compte Instagram sur le sujet – et j’ai fait plusieurs interventions dans des écoles maternelles pour faire comprendre l’importance de se brosser les dents, la formation des caries, etc. Avec le Comité, nous allons aussi développer tout un travail avec le Papillon.
4. Et maintenant, quelle est la suite ? Cette élection à l’unanimité a-t-elle nourri votre « ambition » : Miss Île-de-France ? Miss France peut-être ?
V. C. : J’ai clairement la suite en tête et je suis encore plus motivée, maintenant que j’ai emporté cette première couronne. Mon objectif est bien de participer à l’élection Miss France. Puisque je me « réveille » à bientôt 29 ans (elle soufflera ses bougies cet été), autant faire les choses pleinement et tenter d’aller au bout de l’aventure ! En plus, j’ai l’appui de plein de gens qui croient en moi. Je compte les rendre fiers et, avant tout, me rendre fière encore !
5. Impossible de finir sans une question sur Montrouge : vous connaissiez ?
V. C. : Là aussi, c’est une histoire incroyable. Je connaissais la ville parce que… c’est ici que j’ai passé mon examen de médecine ! D’une certaine façon, la boucle est bouclée. Quand je suis arrivée le matin au Beffroi, le jour du show, je me suis dit : « La dernière fois que je suis venue, c’était pour un examen. Et là, c’est amusant, je suis de retour pour… une élection de Miss ». Montrouge est, en quelque sorte, le lieu où se sont concrétisés deux des rêves de ma vie !